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EXTREMES
Pratiques extremes
La Scatophilie
La scatophilie utilise les déjections
humaines à des fins érotiques.
Pour les sexologues, cette pratique comporte à
la fois un caractère fétichiste, sadique
et masochiste.
Il est vrai que lorsqu'un homme contraint sa femme à
lécher ses traces d'urine ou ses pertes blanches,
il y a une composante chez lui sadique et chez elle
masochiste.
Dans la majorité des cas, les goûts pour
la scatologie sont surtout le fait des hommes. Bien
souvent, ces derniers ont une personnalité obsessionnelle,
qui est restée fixé au stade anal, décrit
si souvent par les psychanalystes.
Les mères de ces derniers ont été
fières de la précocité de la propreté
de leur petit rejeton et leur " caca" était
pour elles un cadeau précieux. C'est pourquoi
certains enfants n'hésitent pas à jouer
avec leurs excréments et à les manger.
Ils badigeonnent parfois les murs de leur chambre sans
penser une seconde que c'est sale.
Les adultes qui ont une tendance
à la scatologie régresseraient avec une
jouissance infinie à ce stade infantile.
Ces pratiques n'appellent aucune
observation particulière, tant qu'elles ne mettent
en scène des adultes majeurs et consentants.
La zoophilie
La zoophilie ou attirance envers
les animaux n'est répréhensible, sur le
plan sexuel, que si elle s'accompagne de pratiques constitutives
par elles-mêmes de délits pénaux.
Elle peut être poursuivie si elle constitue, à
la charge de celui qui s'y adonne, un outrage public à
la pudeur.
La Loi réprime les mauvais
traitements infligés aux animaux domestiques
ou apprivoisés. Ils constituent une contravention
qui est passible d'une peine de prison de 5 jours et
d'une amende. La peine de prison peut être portée
à 10 jours en cas de récidive.
Les sévices graves ou actes de cruauté
envers les animaux domestiques constituent non une simple
contravention mais un véritable délit.
Il est passible de 15 jours à 6 mois de prison
et d'amendes importantes, avec doublement de ces peines
en cas de récidive. La distinction entre mauvais
traitements et les actes qualifiés de cruautés
n'est pas opérée par la Loi et est laissée
à l'appréciation des Tribunaux.
- Les rapports sexuels avec les animaux sont vieux
comme le monde. C'est pourquoi la Bible l'érigé
comme un tabou sous peine de mort s'il y a transgression.
Au Moyen Age, les femmes qui se livraient à
la bestialité étaient brûlées
vives.
- La bestialité ou zoophilie est une fantaisie
sexuelle assez peu courante. Si l'animal domestique
est investi de sentiments amoureux et affectifs de
la part de ses maîtres, cela n'a rien à
voir avec la zoophilie, même s'ils ont ensemble
des jeux un peu sexuels. C'est seulement quand l'animal
devient un objet érotique, qu'on se sert de
lui pour obtenir un orgasme, que l'on parle de zoophilie.
Elle inclut aussi la pénétration, le
lèchement des organes génitaux par l'animal
et la masturbation de ce dernier.
- Les statistiques ont dévoilé que 8%
des hommes et 4% des femmes avaient connu l'orgasme
avec un animal. Il atteignait 17% chez les adolescents
en milieu rural. Ceux qui y ont recours ont souvent
souffert de solitude extrême, de troubles relationnels
avec les autres ou d'insatisfaction profonde avec
un partenaire. Ils pensent qu'avec un animal, ils
peuvent s'autoriser toutes les fantaisies possibles.
L'animal est bien souvent dépendant et esclave.
Bien des animaux, d'ailleurs, font les frais des pulsions
sadiques. Ce sont des partenaires faciles à
dresser et certaines femmes ont, avec leur animal
de compagnie, des jeux érotiques adaptés
à leurs fantasmes. Le berger allemand a bien
souvent une place vedette dans ces scénarios.
Ceux qui s'adonnent à ces fantaisies sexuelles
éprouvent des difficultés à vivre
des relations sexuelles satisfaisantes avec leur partenaire.
Bien souvent d'ailleurs, ils n'osent avouer avoir
un tempérament étonnant. Certains d'ailleurs
n'osent pas passer à l'acte, craignant la naissance
de monstres. Les spermatozoïdes des animaux ne
sont nullement compatibles avec les ovules humains.
Ils se détruisent l'un l'autre. De même,
ils ne peuvent transmettre de maladies sexuelles,
telles que la syphilis ou la blennorragie, mais en
revanche provoquer des parasites et des dermatoses
sévères.
Nécrophilie
Depuis1993 le Nouveau Code Pénal
sanctionne les " atteinte à l'intégrité
des cadavres ".
Tout acte de viol de cadavre (même si ce n'est
pas un viol proprement dit, car le macchabée
ne peut pas protester !) est un délit.
Les peines de un ou deux ans d'emprisonnemen(en cas
de la profanation de sépulture) sont rarement
appliqués, car les nécrophiles sont considérés
comme malades mentaux.
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